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Je remplis tranquillement la base de données d’∞-lecture.
C’est très agréable de reparcourir tous ces extraits d’ouvrages que j’ai aimés à un moment. Il y a des livres dont le souvenir m’a accompagnée pendant longtemps. Je croyais que j’avais une très mauvaise mémoire parce que je me rappelle rarement de l’intrigue ou des détails de ce que je lis ou vois, mais je me rends compte que je garde pourtant une trace dans mon esprit, même infime, de chacun des livres que j’ai inscrit sur mes listes (même si pour l’instant je ne suis remontée que jusqu’à 2016).
Ça me rend un peu nostalgique aussi, parce que ça ramène des souvenirs de moments, de lieux et de personnes avec qui j’étais pendant que je lisais ces livres.
Ça m’a aussi rappelé un projet que j’avais commencé sans vraiment le poursuivre, quand j’habitais à Nantes à la Calypso. Je me demandais déjà quoi faire de toutes ces citations.
J’avais commencé à en envoyer anonymement aux gens auxquels certaines citations me faisaient penser. Je les tapais à la machine et j’en gardais une copie carbone avant de les expédier. Je voulais que ça reste anonyme pour que les destinataires soient vraiment intrigué·es par le texte et cherche à le comprendre bien. Peut-être à lire le livre dont il est tiré, aussi. Je comptais en envoyer à des gens que je connais personnellement mais aussi à d’autres que je n’ai jamais rencontrés mais dont je connais le travail et à qui ces citations me paraissaient correspondre.
J’ai dû envoyer cinq ou six citations à cinq ou six personnes et puis je n’ai pas continué. Je dois encore avoir les copies carbones rangées quelque part, je ne sais pas du tout où.
Peut-être un jour, je recommencerai.
 La pelleteuse d’Alix
La pelleteuse d’Alix Ma pelleteuse
Ma pelleteuse Alix a aussi peint des dinosaures, parce qu’I. est aussi fan
Alix a aussi peint des dinosaures, parce qu’I. est aussi fan