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Je code pour la énième fois une énième version de toujours la même base de données. J’en reparlerai plus tard je crois. C’est un gros chantier.
J’adore les bases de données. Je me suis rappelée hier qu’un ami de lycée, déjà, m’en avait parlé après notre bac. Il s’était lancé dans l’administration d’une base de données parce qu’il gérait des castings. À l’époque j’avais déjà bien compris la fascination qu’il avait et que je me sentais proche d’avoir aussi, mais je n’avais pas encore capté la portée ni même le fonctionnement de cet outil. Il utilisait un logiciel dont j’ai oublié le nom. Je me rappelle avoir téléchargé la démo et puis ne pas avoir trop su comment et pourquoi m’en servir.
Aujourd’hui je code mes bases de données en Mysql et l’interface qui permet de s’en servir (de les remplir, de les modifier ou simplement de les consulter) en PHP et HTML. Je n’utilise pas de logiciel parce qu’en codant le contenu et le contenant, j’ai l’impression de fabriquer le meuble sur mesure pour tous les objets qui y seront rangés.
Les bases de données me font penser aux grands meubles avec plein de tiroirs qu’il y avait dans les vieux magasins. Google me dit que ça s’appelle un “meuble de métier”. Ou alors, les bases de données me font penser aux casiers de typographie avec plein de cases de tailles différentes pour tous les caractères.
Sauf que ces meubles et ces tiroirs seraient en plus reliés par des mécanismes secrets qui permettent de circuler de l’un à l’autre ou par des tunnels qui s’ouvrent ou qui se ferment pour les relier en fonction de ce qu’on veut trouver.
Les bases de données m’apparaissent comme une façon un peu magique d’agencer les choses et de les regarder différemment.
Il y a peu de gens qui pensent que parler des bases de données peut être intéressant. Si vous faites partie de cette minorité stp écrivez-moi. J’ai trop de choses à dire que je n’ai jamais dites à personne.